Son caractère :
Capricieuse Ҩ Bonne Éducation Ҩ Narcissique Ҩ Douce Ҩ Cruelle Ҩ Passionnée Ҩ Calculatrice Ҩ Intelligente Ҩ Manipulatrice Ҩ Raffinée Ҩ Méchante Ҩ Élégante Ҩ Maléfique Ҩ Indépendante Ҩ Caractérielle Ҩ Intelligente Ҩ Méchante Ҩ Impatiente Ҩ Rancunière Ҩ Ingénieuse.

Quand nous regardons Katherine, nous nous faisons rapidement un avis sur cette sulfureuse vampire. Elle est très loin d'être un vrai petit ange, bien au contraire. Mais après tout, le principal ce n'est pas d'assumer la personne que nous somme? En façade, Katherine est la pire des garces, mais n'y a-t-il pas une face caché sous cette femme sans scrupules? Est-elle cette cruelle vampire?

Côté Face,
Katherine est une femme sans scrupules qui manipule, torture et tue pour arriver à ses fins ou simplement par plaisir. Les défauts chez elle, nous les comptons à la pelle. Caractérielle, capricieuse, narcissique et cruelle, la personne qui l'intéresse le plus est sa propre personne. Elle fera toujours passé ses propres envies avant ceux des autres. Mais après tout, beaucoup de personne le font mais ne l'assume pas. Katherine, elle est une jeune femme avec un grand côté mauvais, elle le sait et l'accepte totalement. Sa vie à fait d'elle ce qu'elle est maintenant et on ne pourra rien y changer.
Et si derrière tout ça, il se cachait une autre facette? Certes très petite mais belle et bien là.

Côté Pille,
Katherine est une jeune femme qui a eut une éducation très stricte, même si cela l'exaspère, certaines de ses petites manies le montre franchement. Elle peut être une femme très douce, mais certains moments de sa vie ont fait que cette qualité s'estompe ou se cache derrière son caractère explosif.
Dut aux nombreuses années qu'elle a passé et au cours royales qu'elle a rencontré, Katherine est une femme élégante et raffiné. Mais également une femme avec une grande intelligente.

Bulgarie 1490 :

Le bébé était né sous les yeux de tous les servants, et servantes. Devant son père et sa mère. « C'est une fille » Lui avait-elle dit en bulagre. Elle l'avait soulevé légèrement pour lui montrer. Katerina observa l'enfant pleine de tendresse. C'est une si belle fille, un si beau bébé. « Une fille. » Avait-elle répétée, encore essoufflée à cause de l'accouchement. Elle savait ce qui allait l'attendre. C'était un bébé né hors mariage. Elle n'aurait pas le droit de l'avoir, elle n'aurait pas le droit de l'élever et serait exilée du pays. « S'il vous plaît mère, laissez moi la voir » Elle en avait tellement envie, elle avait tellement envie de prendre ce si beau bébé, dans ses bras, de le bercer tendrement et de... « Femme, stop ! Que fais-tu ?! » La voix de son père. Non. Non. Non ! Elle n'allait pas pouvoir le prendre. Non, par pitié, juste quelques secondes, c'était son bébé ! Ils ne pouvaient pas lui prendre ! Ils n'avaient pas le droit. Sa mère donna donc le bébé à son père. Katerina, les observa, ses qui s'emplirent de larmes. Elle ne la reverrait pas, c'était pas possible. « Laissez moi au moins la tenir une fois.. » Ses larmes menaçaient de tomber à présent. « Juste une fois, au moins une fois. » Elle tendit la main vers eux, espérant qu'on lui accorde cette faveur. Qu'elle puisse tendrement caresser la joue de cet enfant. « Oublie ça ! Tu as déshonorée cette famille ! » Et ils partirent avec le bébé. Non, non, non, non ! SON bébé ! Non ! Elle pleurait à présent, sachant que plus jamais elle verrait cet être si pur, si parfait. « Père, s'il vous plaît ! Non père, s'il vous plaît, non ! » Sanglota-t-elle. Son bébé.. Son bébé était parti. Elle ne la reverrait jamais. Elle tenta de s'approcher à nouveau de son père qui avait à présent quitter la pièce, son corps étant secouée par les sanglots. Elle pleurait la perte de cet être à qui elle avait donné vie et qu'elle n'avait même pas pu tenir dans ses bras quelques secondes. Son bébé. Son enfant. Sa fille. Pas la leurs. Sa mère la retint, elle-même bouleversée par la tristesse de sa fille. « Non Katerine, c'est mieux pour elle ! » Elle fondit alors en larmes dans les bras de sa mère, la serrant contre elle. « Non mère, s'il vous plaît...» Elle ne criait, plus, elle savait que c'était vain. Mais cette douleur, cette atroce douleur qu'elle ressentait à présent que la fille était partie pour toujours. Ce vide qu'elle avait laissé alors qu'elle ne l'avait vu que quelques secondes.. « Laisse la partir Katerina, laisse la partir ! » La laisser partir ? Mais elle ne pouvait pas bon sang ! C'était sa fille ! Se blotissant contre sa mère, elle regardait la porte par laquelle elle avait vu disparaître son bébé. « S'il vous plaît mère.. » Sa voix était à peine un murmure à présent. Elle était brisée. Sa mère s'était mise à pleurer à son tour. Ses pleurs qu'elle avait si ardemment retenu.. Mais voyant sa fille qui allait quitter le pays, inconsolable et brisée par cette perte, elle ne put s'en empêcher. Elle savait elle-même qu'elle aurait réagit de la même façon si on avait tenter de lui retirer son bébé, sa belle Katerina Petrova. Oui, elle ne comprenait que trop bien sa fille, et compatissait de tout coeur avec elle. Bientôt elle aussi perdrait son bébé, et ressentirait la même douleur que sa fille ressentait en ce moment. Peut-être même pire..

Je suis née en Bulgarie, en 1473 si je ne trompe pas. Ma famille était quelque peu modeste, mais nous n’étions pas à plaindre. Cette époque était rude pour la plupart des personnes néanmoins nous avions toujours de bon repas, et notre situation sociale n’a jamais été à plaindre. C’est ainsi que j’ai acquis toute mes bonnes manières. Je me souviens que ma mère ne cessait de nous rependre ma sœur et moi pour nous apprendre toute sorte de chose. Nous passion même parfois des après-midi entières à s’exercer pour diverses choses, comme le maintien, ou encore la démarche. C’était un passe-temps comme un autre, qui nous rapprochions un peu plus. Je possédais une famille aimante, mais cela ne m’empêcha pas de posséder mon caractère, loin d’être facile. Je passais outre parfois des règles strictes qu’on m’imposait, préférant déguster ma liberté. Mais je commis une faute, une faute impardonnable, qui fit de moi la honte de notre lignée. Un enfant hors mariage. Je me souviens encore de la rage de mon père, de la tristesse de ma mère, et des regards assassins et méprisants de tous les gens du village. Mais ceci ne laissa aucune trace en moi, ce n’est rien comparé à la douleur que j’ai ressenti le jour de l’accouchement. Peu importe la douleur physique que j’eux ressenti, mais mon enfant me fit enlever à l’instant où elle fut sorti de moi. Je suppliais pourtant de me laisser la tenir, ou même juste la voir. On me le refusa, et le seul souvenir que j’ai de ma propre fille m’échappe tellement qu’il est court. Je ne peux m’empêcher d’y repenser à chaque jour de ma très longue vie...
Après cette épreuve, je dus recommencer une nouvelle vie en Angleterre, lors de l’année 1492, j’avais désormais vingt ans, et mon nom fut changer, j’étais maintenant nommée Katherine Pierce. C’est à cette époque que je fis la connaissance d’Elijah, un charmant jeune homme, alors que j’étais destiné à son frère. Ils étaient d’une famille plus que respectable, riche et respecté. Je ne pus refusé de faire leur connaissance, et alors que j’assistais à un de mes premiers bal, je rencontrais Klaus. Il était très séduisant, et semblait me porter de l’intérêt. Je n'étais pas méfiante à son égard et pourtant j'aurais du. Je restais avec elijah le reste de mon temps, si bien qu’il tomba amoureux de moi, essayant même de m’épargner mon destin tragique. J’étais la descendante de Tanya, celle qui avait aidé au sort pour créer les vampires, et donc à l’origine de la malédiction de Klaus, qui l’empêchait de devenir un hybride. J’étais donc le nouveau sacrifice. Aussitôt que je fus au courant de ses plans, je décidais de fuir. Mais fuir n'est pas si facile quand celui qui vous cherche est très malin ! Et ne savant pas à l'époque l'étendu de ses pouvoirs, je ne savais pas réellement à quoi j'étais confrontée. Forte heureusement malgré ma naïveté, j'étais déjà une fine manipulatrice, et mon échappatoire était un garçon nommé Trevor, qui c'était amouraché de ma personne. Il fallait croire que j’avais beaucoup de succès. Il y eut ensuite Rose, sa soeur, qui cependant elle, était bien moins idiot que Trevor. Et avait donc la forte attention de me rendre à Klaus. C'est ainsi que je décidai de me pendre, ayant du sang de vampire dans le corps. Je n'avais aucune once de peur, plutôt de hâte. J'avais hâte d'en avoir fini avec ce fléaut. Et c'est ainsi, que je montais cette chaise, m'accrochant cette corde à mon cou, et que je poussai ensuite la chaise pour qu'elle puisse tomber. Une minute me suffit pour mourir. Une nouvelle ère pouvait commencer.